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Bonjour je m’appelle Sophie et voici mon histoire :
J’ai vécu 8 ans avec un homme violent physiquement et verbalement envers les enfants malgré mes tentatives de faire une thérapie pour sauver ma famille en vain. J’ai donc porter plainte pour violences physiques sur nos enfants encore en bas âge aujourd'hui (4 enfants entre 2 et 8 ans : 2 garçons et 2 filles dont un bébé encore allaité) en apportant les photos des coups et hématomes aux gendarmes et je l’ai assigné en divorce devant le JAF (Juge des Affaires Familiales). J’avais aussi demandé des "droits réservés" à savoir voir les enfants en lieu neutre.
Il a reconnu les faits devant cette JAF et a dit avoir regretté ses gestes et se sentir dépassé… Du coup il n'a eu qu'un simple rappel à la loi de la part du procureur avec un stage de responsabilité parentale de 48h Malgré cela la JAF lui a accordé un DVH (Droit de Visite & d'Hébergement) classique c'est à dire de les voir un week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires. Malheureusement les violences ont redoublé durant ses DVH et durant les vacances où les enfants étaient chez lui. Ils revenaient chaque fois cernés, pâles et avec des bleus, griffures… J'ai continué à porter plainte et à avertir les autorités sur son comportement qui n’a pourtant pas changé.
Quand j'ai voulu m'en écarter alors car il devenait dangereux pour les enfants et moi, il a voulu me retenir avec de mauvaises intentions. Il a essayé de m'acheter par des cadeaux, etc. Il m'a même supplié d'annuler le divorce, de retirer mes plaintes et qu'il m'achèterait ce dont j'avais envie... Mais j'ai refusé car maintenant je connais la Vérité ! Alors il a harcelé ma famille, les a menacé bien qu'ils ne lui ont jamais rien fait. Mais il cherche clairement à nous nuire et intimider pour nous empêcher de révéler ses maltraitances et viols incestueux sur nos enfants.
En effet, l’année dernière ma première fille de 4 ans a été la première à me confier, après un refus de se déshabiller pour le bain, que son père lui avait "touché sa zezette et ses fesses". Le CHOC !
J'ai commencé alors à enregistrer ce qu’elle me disait sur mon téléphone. Ma fille parlait alors en pleurs, traumatisée. Elle ne voulait plus retourner chez son père.
Mais me sentant menacée moi-même de non présentation d’enfant je décidais alors de commander un enregistreur espion que j'ai cousu à l’intérieur du doudou de ma fille. Il se déclenchait au bruit et mouvement.
Une fois les enfants revenus de chez leur père, j'ai décousu le doudou et tout écouté sur mon PC. Et là encore le CHOC comme des coups de poignard… J’ai eu du mal à écouter jusqu’au bout.. Mais j'ai serré les dents… Les violences physiques et verbales sur les enfants étaient H24 et l’inceste se produisait le soir. On entendait distinctement qu’il allait réveiller notre fille en plein sommeil. Elle pleurait et criait qu’elle ne voulait pas, mais il la forcçait et lui disait de se calmer.
Tous ces enregistrements je les ai transfèré sur mon portable et je suis aller porter plainte pour agression sexuelle sur mineur par ascendant. Les gendarmes ont retranscrit tout par écrit ce qu’ils entendaient sur les PV (fournis au dossier normalement). Entre temps les garçons me révèlèrent qu'eux aussi subissaient les viols de leur père et qu'ils avait déjà assisté à ceux de leur soeur mais qu’il leur avait demandé de se recoucher. J'étais de nouveau sous le CHOC, déprimée, anéantie… J’ai emmèné les garçons pour d’autres plaintes contre lui. Ils ont été auditionnés pas une brigade spéciale, puis s’ensuivit une expertise psy mandatée par le procureur.
Si j'avais pensé à mettre l'enregistreur espion dans le doudou de ma fille c'est qu'auparavant j'avais déjà eu des doutes (mais pas encore de certitudes) quand nous vivions sous le même toit. Mon bébé à l'époque de moins d'un an refusait subitement que je lui change la couche, serrait les fesses et cuisses et hurlait jusqu'à avoir des sueurs froides. Puis, du jour au lendemain, faisait une forme d'encropesie (incontinence fécale avec forte rétention des selles pour les relâcher involontairement et douloureusement plus tard). Quand j'y repense et que je refais le lien avec les autres... ça me hante jour et nuit, je culpabilise et ça me ronge quotidiennement.
Avec mon avocate on a demandé une audience par incident. Reçus fin d'année 2022 devant une nouvelle JAF, qui visiblement ne connaissait pas le dossier, n’avait pas été vérifié, ni sur l’enquête pénale en cours, ni sur les nombreux PV et preuves, ni sur l'expertise psy du procureur et encore moins sur le rapport du médecin légiste... On a continuer de demander des droits réservés en lieu neutre au vu des faits graves et de la continuité des violences incestueuses.
Début d'année 2023, c'est "l’hécatombe" ! L'Enfer s'ouvre sous mes pieds : je reçois l’ordonnance de l’horreur me décrivant comme une mère dangereuse ! Et cela sans expertise psy indépendante, ni enquête sociale, rien ! Juste sur les simples dires de l’experte psy payé par le père qui ne m’a jamais ni vu, ni rencontré mais qui préconise pourtant un retour des enfants chez lui. La JAF tranche alors uniquement à partir de cette seule expertise mensongère et diffamatoire, ainsi que sur les propos du père me traitant de "mère dangereuse qui évince le père de ses enfants par tous les moyens". Elle lui transfère alors la résidence immédiate de nos 4 enfants avec en plus notre petite dernière qui a juste 2 ans, est toujours allaitée et qui ne connaît pas son père puisque je me suis séparée de corps avec lui elle n'avait que 6 mois. En plus, je ne devrais les voir qu'en lieu neutre. Les rôles qui s’inversent !! Je reçois d’ailleurs une lettre de ce "lieu neutre" me disant qu’ils ne pourront pas me recevoir pour les visites médiatisées car ils sont surchargés !
J’ai saisi le procureur par plainte avec tous les éléments au vu des dangers qu’encourt les enfants. Et il y eu aussi de nombreux autres signalements que les miens, notamment de l’école des enfants puisque mon fils de 8 ans a révélé les faits de violence et d’inceste de son père à son maître d’école, lui disant qu’il avait peur de retourner chez ce dernier. Il a donc fait un signalement et a été entendu par les gendarmes également.
J'ai fais tout ce que je pouvais mais mes enfants m’ont été arrachés avec une extrême violence le 13 février 2023 après l’audience du juge des enfants en qui nous misions tous nos espoirs pour une mesure de protection. Mais sans savoir qu’elle nous préparait en fait un get appens et qu’elle appellerai "la sécurité", c'est à dire la police pour me violenter à leur tour devant mes enfants qui s’accrochaient à moi en nous suppliant de ne pas retourner chez leur père !
Depuis ça me ronge de savoir que mes 3 ainées dorment désormais chaque nuit chez lui... D'ailleurs il ne veut pas me les passer au téléphone. Il lit mes messages mais n'y répond pas. Je ne sais même pas comment ils vont et leur état psychologique alors que j'ai encore l'autorité parentale pour l'instant, qu'il cherche d'ailleurs clairement à m'enlever à tout prix.
Je suis d'autant plus anéantie que mon bébé de 2 ans, était dispensée d’audience. Donc ils n’ont pas pu l’arracher ce jour-là de mes bras... Alors je résiste en la protégeant autant que je peux encore. Mais j'ai très peur qu'ils viennent aussi me la prendre et kidnapper. Sachant que son père pourrait aussi, comme les autres, continuer ses violences physiques et sexuelles en toute impunité !
Car la justice nie et balaye systématiquement toutes mes plaintes, preuves et même témoignages pour me faire taire et faire taire mes enfants. A ce jour, il n'a toujours pas été entendu au Pénal.
Pourtant une JAF a décidé un beau jour de lui transférer la résidence immédiate des enfants les arrachant de leur environnement apaisant et sécurisant.
Aidez-moi, aidez mes enfants à retrouver leur parent protecteur.
Organizer
Sophie Angelot
Organizer
Orléans, A3