Sauvez la Conscience Primary School (école au Népal)

Présentation :

Une initiative de l'association >> Solhimal <<

L'école « Conscience Primary School » (CPS) est un établissement scolaire situé à Nayapati, à 15 kilomètres de Katmandou, au Népal. Fondée en 2013 par Passang Lama

Dhondup, natif du Langtang, l'école offre une éducation précieuse à 32 enfants, dont 13 actuellement parrainés par SolHimal.

Passang Lama Dhondup, diplômé en sociologie et économie de l'Université de Tribhuwan, a réalisé son rêve d'enfant, après avoir travaillé dans un orphelinat et dirigé les opérations de la Fondation « Himalayen Children ».

En 2013, grâce à des fonds personnels et à l’aide de l'association allemande "Einfach Machen", il a construit l'école CPS.

L'école, avec l'encadrement de huit adultes, offre un enseignement du CP au CM2. Les enfants peuvent ensuite poursuivre leurs études au lycée tibétain Namgyal Higher

Secondary School jusqu'en terminale, ouvrant ainsi la voie à l'enseignement supérieur et à des emplois rémunérés.

Cependant aujourd’hui, l'école CPS se trouve en difficulté financière et pourrait devoir cesser ses activités faute de soutien financier. Jusqu'à présent, "Einfach Machen" couvrait ses frais de fonctionnement, mais l'association a annoncé sa fermeture en 2024.

À partir de 2025, couvrir les salaires des enseignants, les fournitures scolaires, l'alimentation et les réparations deviendra très difficile.

Les ressources financières de l'école sont limitées et des fonds supplémentaires sont nécessaires de toute urgence.

Ces enfants des régions montagneuses du Nord du Népal sont souvent privés d'une éducation de qualité. L'école CPS leur offre une chance de réussir et de construire un avenir meilleur.

Enfin le coût mensuel pour un enfant est de 60 €, les parrainages ne couvrant pas la totalité des frais, le reste est à la charge des parents dont la majorité ne peuvent pas payer.

C'est pour cela que nous sollicitons votre soutien financier pour maintenir l'école ouverte et garantir une éducation à ces enfants défavorisés.

Aidez-nous à leur promettre un avenir meilleur en contribuant à notre collecte de fonds pour l'école Conscience Primary School.

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Qui est Thierry Boué ?

Thierry Boué, parrain de deux jeunes filles depuis plus de 13 ans avec Solhimal, est l'initiateur historique de cette cagnotte pour des projets au Népal. Il nous aide aujourd'hui à faire perdurer cette belle initiative au profit de La Conscience Primary School.

Voici quelques autres projets aidés :

1) Aide durant la crise Covid en 2020 (une initiative de Thierry Boué)

"Cinq ans après le terrible séisme qui tua près de 9.000 personnes au Népal, le pays est mis à terre par une nouvelle catastrophe, la pandémie de covid-19. Pourtant, les stigmates de 2015 étaient toujours là. Car en 2020, un quart des écoles et 40% des habitations détruites n'ont pas encore été reconstruites ..."

Au printemps 2020 dans le village de Basa au Népal, une vraie catastrophe à déjà commencé car les touristes ne viennent plus au Népal. Si à l’automne les frontières sont toujours fermées de nombreuses personnes vont se trouver en grande difficulté.

Notre partenaire sur place, Niru RAI et son équipe, aide depuis plus de 19 années ceux qui en ont le plus besoin et qui n’ont déjà plus les moyens de se nourrir.

Nous savons fort bien qu’il n’y a ni indemnisation, ni chômage, donc les guides, les assistants, les porteurs, les cuisiniers qui gagnaient leur année en quelques semaines de travail et nourrissaient des dizaines de bouches avec leurs seuls salaires et pourboires ne pourront plus le faire.

         

2) Agrandissement de l'école (avec l'agence Adventure Geo Treks et SolHimal)

Les 3 nouvelles salles de classe avaient permis d'accueillir tous les enfants en âge d'être scolarisés. Ces enfants n'étaient tout simplement pas scolarisés en raison de l'isolement du village. Se rendre à l'école la plus proche impliquant des déplacements longs et dangereux. Depuis les effectifs ont grossi chaque année.

3) L'alphabétisation des femmes 

Très souvent, les populations rurales sont peu ou pas instruites, très peu de personnes adultes ayant eu accès à l'éducation scolaire. Force est de constater que les femmes constituent la tranche la plus analphabète de cette population. Impliquer les femmes dans l'amélioration des conditions de vie, pas uniquement comme bénéficiaires mais aussi comme vecteurs, nécessite au préalable qu'elles acquièrent des bases permettant des prises de conscience de leurs valeurs, de leurs potentiels.

Pour cela, des cours d'alphabétisation ont été mis en place. Ils ont pour but de former et aider les femmes à devenir les actrices du développement du monde rural, de leur propre épanouissement et de celui de leur famille. Pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire mondiale, nous vous sollicitons pour aider ce village.