Culture de manioc solidaire
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Aujourd’hui, la situation des femmes au Togo n’est pas toujours satisfaisante.
Même si certaines s’en sortent bien, dans les milieux ruraux, il est difficile pour elles de trouver un emploi afin de subvenir à leurs besoins et ceux de leurs enfants. En effet le taux d’analphabètes chez les adultes de plus de 15 ans est de 15,71% au Togo. De plus, 53,5% de la population du pays vivait sous le seuil de la pauvreté en 2017
C’est pour cela que l’ONG JADAH (Jeunesse en Action pour le Développement et l’Aide Humanitaire), créée le 4 Mai 2009 et certifiée par l’Etat togolais, a développé le projet FOMENEFA « la paix dans le foyer » en éwé, la langue traditionnelle au Togo.
Ce projet consiste à donner des cours d’alphabétisation à quelques 150 femmes veuves et/ou démunies. Mais aussi et surtout à leur accorder des micro-crédits avec les fonds propres de l’ONG afin qu’elles puissent créer et gérer une activité génératrice de revenus dans l’optique de devenir autonomes financièrement parlant.
Ainsi, avec leur activité, elles peuvent répondre à leurs besoins vitaux et ceux de leur famille. Cette dynamique réduit par la même occasion le nombre d’enfants dans les rues car ils pourront être pris en charge financièrement par leurs proches. Seulement, avec une évolution de fréquentation des femmes sur le projet, l’ONG peine à accorder des crédits et limite le nombre de nouvelles entrepreneuses.
C’EST ICI QUE LA CULTURE DE MANIOC ENTRE EN JEU
Cette plante, très consommée au Togo est à la base du garry, du tapioka, du yakayaké, de l’atchéké, et encore pleins d’autres spécialités togolaises.
Il faut savoir que l’ONG JADAH possède 3 hectares de champs exploitables qui peuvent être dédiés à la culture du manioc.
L’idée serait de créer une chaîne de production locale pour récolter la plante, la transformer en spécialités du pays, pour enfin commercialiser le produit fini sur les marchés de la région de Kpomé, Djagblé, Abobo et Lomé.
La totalité des bénéfices liés à la vente sera réinjectée dans les micro-crédits accordés aux femmes pour qu’elles puissent créer à leur tour une activité génératrice de revenus pour vivre correctement de façon autonome. Une formation leur sera aussi dispensée par une coopérative togolaise afin qu’elles puissent gérer leur argent correctement dans leur activité.
En plus de développer l’économie locale de la région, les femmes ne sont plus seulement bénéficiaires mais bien actrices de leur indépendance financière.
On peut alors se demander : « A quoi va bien pouvoir servir le financement ? »
Votre participation financière permettra l’achat du matériel nécessaire au lancement du projet.
Le matériel nécessaire au projet pour son lancement varie, allant de la machette jusqu’au tricycle de transport de marchandise, passant par des couteaux, des récipients, des sacs etc…
Il faut savoir qu’avec 3 hectares disponibles nous pouvons planter environs 30 000 plants.
Le manioc est une plante économiquement très rentable par la suite. Une fois cultivée, la tige de la plante (qui ne se consomme pas) est recoupée, et peut servir à replanter 5 nouvelles pousses.
L’écorce de manioc sera également revendue pour servir de nourriture aux élevages de la région.
Enfin, la chair du manioc, peut être consommée telle quelle ou transformée.
Il faut donc comprendre que, grâce à cette aide financière que vous pouvez apporter, le projet sera propulsé et pourra continuer de fonctionner et évoluer pendant des années, apportant un soutien temporaire et indispensable à l’autonomisation de centaines de femmes et un accès à de meilleures conditions de vie.
Sans votre participation, tout ce projet ne pourra jamais voir le jour et devra être remis au placard. Une participation, quelle qu’elle soit, peut changer la vie de plusieurs personnes !
Comme le disait Gandhi : « Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde »
Elles comptent sur vous !
Même si certaines s’en sortent bien, dans les milieux ruraux, il est difficile pour elles de trouver un emploi afin de subvenir à leurs besoins et ceux de leurs enfants. En effet le taux d’analphabètes chez les adultes de plus de 15 ans est de 15,71% au Togo. De plus, 53,5% de la population du pays vivait sous le seuil de la pauvreté en 2017
C’est pour cela que l’ONG JADAH (Jeunesse en Action pour le Développement et l’Aide Humanitaire), créée le 4 Mai 2009 et certifiée par l’Etat togolais, a développé le projet FOMENEFA « la paix dans le foyer » en éwé, la langue traditionnelle au Togo.
Ce projet consiste à donner des cours d’alphabétisation à quelques 150 femmes veuves et/ou démunies. Mais aussi et surtout à leur accorder des micro-crédits avec les fonds propres de l’ONG afin qu’elles puissent créer et gérer une activité génératrice de revenus dans l’optique de devenir autonomes financièrement parlant.
Ainsi, avec leur activité, elles peuvent répondre à leurs besoins vitaux et ceux de leur famille. Cette dynamique réduit par la même occasion le nombre d’enfants dans les rues car ils pourront être pris en charge financièrement par leurs proches. Seulement, avec une évolution de fréquentation des femmes sur le projet, l’ONG peine à accorder des crédits et limite le nombre de nouvelles entrepreneuses.
C’EST ICI QUE LA CULTURE DE MANIOC ENTRE EN JEU
Cette plante, très consommée au Togo est à la base du garry, du tapioka, du yakayaké, de l’atchéké, et encore pleins d’autres spécialités togolaises.
Il faut savoir que l’ONG JADAH possède 3 hectares de champs exploitables qui peuvent être dédiés à la culture du manioc.
L’idée serait de créer une chaîne de production locale pour récolter la plante, la transformer en spécialités du pays, pour enfin commercialiser le produit fini sur les marchés de la région de Kpomé, Djagblé, Abobo et Lomé.
La totalité des bénéfices liés à la vente sera réinjectée dans les micro-crédits accordés aux femmes pour qu’elles puissent créer à leur tour une activité génératrice de revenus pour vivre correctement de façon autonome. Une formation leur sera aussi dispensée par une coopérative togolaise afin qu’elles puissent gérer leur argent correctement dans leur activité.
En plus de développer l’économie locale de la région, les femmes ne sont plus seulement bénéficiaires mais bien actrices de leur indépendance financière.
On peut alors se demander : « A quoi va bien pouvoir servir le financement ? »
Votre participation financière permettra l’achat du matériel nécessaire au lancement du projet.
Le matériel nécessaire au projet pour son lancement varie, allant de la machette jusqu’au tricycle de transport de marchandise, passant par des couteaux, des récipients, des sacs etc…
Il faut savoir qu’avec 3 hectares disponibles nous pouvons planter environs 30 000 plants.
Le manioc est une plante économiquement très rentable par la suite. Une fois cultivée, la tige de la plante (qui ne se consomme pas) est recoupée, et peut servir à replanter 5 nouvelles pousses.
L’écorce de manioc sera également revendue pour servir de nourriture aux élevages de la région.
Enfin, la chair du manioc, peut être consommée telle quelle ou transformée.
Il faut donc comprendre que, grâce à cette aide financière que vous pouvez apporter, le projet sera propulsé et pourra continuer de fonctionner et évoluer pendant des années, apportant un soutien temporaire et indispensable à l’autonomisation de centaines de femmes et un accès à de meilleures conditions de vie.
Sans votre participation, tout ce projet ne pourra jamais voir le jour et devra être remis au placard. Une participation, quelle qu’elle soit, peut changer la vie de plusieurs personnes !
Comme le disait Gandhi : « Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde »
Elles comptent sur vous !
Organizer
ONG J.A.D.A.H
Organizer