Parler pour que ça compte
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Soutenir l'association PARLER pour que Parler compte
Je suis Sandrine Rousseau. J'ai été très touchée par le succès des hashtags #balancetonporc et #metoo, car il témoigne d'une multitude de prise de parole de femmes victimes. C'est le but même de l'association Parler
Mon histoire est celle de beaucoup de femmes. Elle illustre la difficulté de parler pour les victimes de violences sexuelles. Car parler, on va se le dire entre nous, c'est une galère.
Lorsqu'il s'est agit pour moi de parler à un capitaine de police, j'ai été très impressionnée. Sur ma route, j'ai eu la chance que nous soyons plusieurs. A chaque rebondissement, à chaque rendez-vous, on se soutenait les unes les autres, on avait jamais honte, on se sentait un groupe et ça aidait beaucoup. Les professionnels eux aussi bien-sûr étaient très présents, compétents, exemplaires, mais cette compréhension chaleureuse du vécu commun, c'était comme le coeur d'une soeur.
L'association Parler existe pour ça. Pour aider à parler et que ça compte. Pour accompagner la parole vers le dépôt de plainte, pour le supplément d'aide et de compréhension qu'il manque dans les salles d'attente des commissariats.
Mon voeux le plus cher est de constituer des groupes dans les plus grandes villes de France pour accompagner les femmes victimes de violences sexuelles, à parler. Cet appel aux dons nous permettra de financer une antenne locale de l'association.
Pour accompagner les femmes qui parlent, nous avons besoin de votre soutien.
10 000 euros c'est le budget nécessaire pour faire vivre l'association dans une ville durant une année. Cela comprend la location d'un local convivial et chaleureux pour les rendez-vous, l'organisation du repas, les accompagnements au dépot de plainte des femmes qui le souhaitent. Cela comprend aussi la mutualisation d'un emploi pour faire fonctionner l'association sur toute la France et le financement d'actions particulières dans les villes comme la venue d'un expert juridique pour avoir des conseils mais pourquoi pas aussi d'un coiffeur.se ou d'un.e styliste pour aimer de nouveau son corps, redevenir une personne forte et sure d'elle même ou toute autre action que les femmes décideront.
4 000 euros c'est le budget nécessaire à la création d'un livre écrit par les femmes de l'association, accompagnées par une éditrice professionnelle, pour transmettre un message à la société. Quel message? Celui de la difficulté des parcours mais aussi des guérisons, des joies, des bonheurs et de la vie retrouvée d'après violences sexuelles?
5 000 euros c'est le budget pour un projet artistique à mener avec les femmes durant une année pour permettre de s'exprimer par d'autres voies que la parole ou l'écrit (la photographie, la peinture ou la sculpture).
Pendant l'automne, nous recherchons des bénévoles. Nous sommes à la recherche de femmes victimes, ou pas, qui ont parlé ou qui savent écouter. Celles qui ont vu leur vie changer grâce à la parole, et qui aiment ce qu'elle est devenue. Une fois tous les deux mois, nous ferons appel à elles ou eux et leur expertise de vécu pour un rendez-vous convivial, de libre parole.
A travers nos actions conjointes de terrain et d'information, sans aucune injonction mais juste grâce à la solidarité, notre objectif, à terme est de faire augmenter les statistiques de celles et ceux qui vont jusqu'à la plainte. Car en France aujourd'hui, seulement 10% des victimes de violences sexuelles déposent plainte
Je suis Sandrine Rousseau. J'ai été très touchée par le succès des hashtags #balancetonporc et #metoo, car il témoigne d'une multitude de prise de parole de femmes victimes. C'est le but même de l'association Parler
Mon histoire est celle de beaucoup de femmes. Elle illustre la difficulté de parler pour les victimes de violences sexuelles. Car parler, on va se le dire entre nous, c'est une galère.
Lorsqu'il s'est agit pour moi de parler à un capitaine de police, j'ai été très impressionnée. Sur ma route, j'ai eu la chance que nous soyons plusieurs. A chaque rebondissement, à chaque rendez-vous, on se soutenait les unes les autres, on avait jamais honte, on se sentait un groupe et ça aidait beaucoup. Les professionnels eux aussi bien-sûr étaient très présents, compétents, exemplaires, mais cette compréhension chaleureuse du vécu commun, c'était comme le coeur d'une soeur.
L'association Parler existe pour ça. Pour aider à parler et que ça compte. Pour accompagner la parole vers le dépôt de plainte, pour le supplément d'aide et de compréhension qu'il manque dans les salles d'attente des commissariats.
Mon voeux le plus cher est de constituer des groupes dans les plus grandes villes de France pour accompagner les femmes victimes de violences sexuelles, à parler. Cet appel aux dons nous permettra de financer une antenne locale de l'association.
Pour accompagner les femmes qui parlent, nous avons besoin de votre soutien.
10 000 euros c'est le budget nécessaire pour faire vivre l'association dans une ville durant une année. Cela comprend la location d'un local convivial et chaleureux pour les rendez-vous, l'organisation du repas, les accompagnements au dépot de plainte des femmes qui le souhaitent. Cela comprend aussi la mutualisation d'un emploi pour faire fonctionner l'association sur toute la France et le financement d'actions particulières dans les villes comme la venue d'un expert juridique pour avoir des conseils mais pourquoi pas aussi d'un coiffeur.se ou d'un.e styliste pour aimer de nouveau son corps, redevenir une personne forte et sure d'elle même ou toute autre action que les femmes décideront.
4 000 euros c'est le budget nécessaire à la création d'un livre écrit par les femmes de l'association, accompagnées par une éditrice professionnelle, pour transmettre un message à la société. Quel message? Celui de la difficulté des parcours mais aussi des guérisons, des joies, des bonheurs et de la vie retrouvée d'après violences sexuelles?
5 000 euros c'est le budget pour un projet artistique à mener avec les femmes durant une année pour permettre de s'exprimer par d'autres voies que la parole ou l'écrit (la photographie, la peinture ou la sculpture).
Pendant l'automne, nous recherchons des bénévoles. Nous sommes à la recherche de femmes victimes, ou pas, qui ont parlé ou qui savent écouter. Celles qui ont vu leur vie changer grâce à la parole, et qui aiment ce qu'elle est devenue. Une fois tous les deux mois, nous ferons appel à elles ou eux et leur expertise de vécu pour un rendez-vous convivial, de libre parole.
A travers nos actions conjointes de terrain et d'information, sans aucune injonction mais juste grâce à la solidarité, notre objectif, à terme est de faire augmenter les statistiques de celles et ceux qui vont jusqu'à la plainte. Car en France aujourd'hui, seulement 10% des victimes de violences sexuelles déposent plainte
Organizer
Sandrine Rousseau
Organizer
Lille, B4