The Singing Nun - Soeur Sourire CD Project
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Waterloo-Belgium, 1963. A Dominican nun, under the nickname Soeur Sourire, conquers the world with the gay song Dominique. Its simplicity attracts fans from all over the world and Dominique reaches number one in the States leaving the Beatles and Rolling Stones behind. Ed Sullivan, the famous American TV-presenter travels to the convent of Fichermont to get Soeur Sourire on his program while Debbie Reynolds agrees to star in a “fictional’ movie about Soeur Sourire.
Soeur Sourire – whose real name is Jeanne Deckers - wants to compose engaging songs and to realise her ambitions, decides to leave the convent in 1966. Together with Annie Pêcher, whom she had met during one of her youth-camps, they move into a flat in a suburb of Louvain. Besides the habit, Jeanne Deckers also parts with the name Soeur Sourire. The convent has forbidden her to use that name any longer. Because she doesn’t want to use her own name, she chooses Luc Dominique. In 1968, Deckers’ biography appears also under that name. She tells about her trip to Canada where to her dismay, she had to perform in shady nightclubs. In Belgium, Jeanne Deckers is confronted with the fact that the record company, “Philips”, is no longer interested in a defrocked nun. The contract with “Philips” had expired and they didn’t have the intention of renewing it.
In 1969 Jeanne Deckers asked the convent permission to use the name Soeur Sourire again because the name Luc Dominique means nothing to anyone. The permission is granted and later follow a few records for children under the “Hebra” label, albeit not very successful.
Meanwhile Soeur Sourire had to pay a huge amount of taxes to SABAM. The proceeds from Dominique had gone to the convent in Fichermont. The nuns had been very generous with the money earned unexpectedly and paid a radio-station with it in Rwanda, to the Papal missionary work training Priests in Zaire, to the Bishops of Chili, the Bishops of India, etc. Instead of being rich, Soeur Sourire had loads of debts. “Claire Joie” – a refuge for autistic children founded by Annie Pêcher went bankrupt and Jeanne Deckers struggled to make a come-back. With the help of record-producer, Marc Moulin, a disco-version of Dominique appears in 1982. It flopped. If the new version of the song had been successful, record companies would be interested again, but they were more and more convinced that Soeur Sourire had been a one-hit-wonder.
In the years that followed, Jeanne Deckers had to cope with her weak health and found herself struggling with a heavy identity crisis. She keeps recording and painting but each time it seems that the world is no longer interested in Soeur Sourire. In spring 1985 both women make a final decision. They commit suicide.
But the story doesn’t end there…
Many years after her death, reel-to-reel tapes and a few cassette tapes were found stashed away in the basement of her late lawyer’s office. On those tapes, Soeur Sourire had recorded a lot of songs, many of them never previously released. It was her wish that the songs would be released after her death, but they never were. After her lawyer’s passing all stuff was moved into the basement waiting for someone to discover them. And so, it happened…
There’s a lot of useful material on the tapes and we want to honour Soeur Sourire’s last wish by releasing those songs onto CD. We picked 14 songs.
Of course, there’s a lot of work involved before those songs can be released onto CD. The tapes must be digitalised, the songs remastered, then the pressing onto CD, marketing, etc. “Global Recordings Artists” in the States is busy working on this, but we do need some financial help to make this happen.
We also need to register a domain name and launch an “official” website. You can already review the website that I have put on my own free webspace. Of course, do bear in mind that some links do not work, and that the website is far from finished. But you can already have a listen to the songs in “raw” format. Many of them are home recordings.
I do hope you are as eager as we are to fulfil Soeur Sourire’s wish and release this “new” CD. Thank you very much for your generosity and God Bless!
Do not hesitate to contact us if you need further information. We’ll provide it with great pleasure.
The Soeur Sourire Team,
Carine Michiels (Belgium)
Deb Chadwick (USA)
Alain Closson (Belgium)
Karl Anderson (USA)
Florian Desmaison (France)
Links: Global Recording Artists website
Official Soeur Sourire Website
Facebook Page
http://www.gragroup.com/
http://users.telenet.be/moonya/Soeur%20Sourire%20Website/site/
https://www.facebook.com/Soeur-Sourire-346502932202841/
Waterloo-Belgique, 1963. Une religieuse dominicaine, surnommée Sœur Sourire, conquiert le monde avec la chanson Dominique. Sa simplicité attire des fans du monde entier et Dominique devient numéro un aux États-Unis, devançant les Beatles et les Rolling Stones. Ed Sullivan, le célèbre présentateur de télévision américain se rend au couvent de Fichermont pour mettre Sœur Sourire à son programme, tandis que Debbie Reynolds accepte de jouer dans un film "fictif" sur Sœur Sourire.
Sœur Sourire - dont le vrai nom est Jeanne Deckers – veut composer des chansons engagées et réaliser ses ambitions. Elle décide de quitter le couvent en 1966. Avec Annie Pêcher, qu'elle a rencontrée au cours de l'un de ses camps de jeunesse, elles s’installent en appartement dans la banlieue de Louvain. En plus de l'habit, Jeanne Deckers perd également le nom de Sœur Sourire : Le couvent lui a interdit d'utiliser ce nom. Elle se choisit alors le pseudonyme de Luc Dominique. C’est sous ce nom que paraît sa biographie en 1968. Elle y raconte son voyage au Canada où, à sa grande consternation, elle devait se produire dans de sombres boîtes de nuit. En Belgique, Jeanne Deckers est abandonnée par sa maison de disques, «Philips», qui ne s'intéresse plus à une nonne défroquée et qui n'a donc pas l'intention de renouveler le contrat qui était arrivé à son terme.
le nom de Luc Dominique ne signifiant rien pour le public, en 1969 Jeanne Deckers demande au couvent l'autorisation d'utiliser à nouveau le nom de Sœur Sourire. La permission est accordée et, plus tard, suivront quelques enregistrements pour enfants sous le label «Hebra», qui ne furent malheureusement pas couronnés de succès.
Sœur Sourire se devait aussi de régulariser l’impôt dû sur les royalties versées par la SABAM malgré que les recettes de Dominique étaient allées au couvent de Fichermont. Les nonnes avaient été très généreuses avec l'argent gagné de façon inattendue et avaient financé une station de radio au Rwanda, soutenu l'œuvre missionnaire papale formant des prêtres au Zaïre, distribué de l’argent aux évêques du Chili, aux évêques de l'Inde, etc. Au lieu d'être riche, Sœur Sourire se retrouve endettée jusqu’au cou. A ce problème, il faut ajouter la faillite de «Claire Joie», un refuge pour enfants autistes fondé par Annie Pêcher et la difficulté pour Jeanne Deckers de faire son retour sur le devant de la scène. Avec l'aide du producteur de disques Marc Moulin, une version disco de Dominique paraît en 1982. Si la nouvelle version de la chanson avait eu du succès, les maisons de disques se seraient de nouveau intéressées à Sœur Sourire… mais ce ne fut pas le cas. Sœur Sourire s’effondra !
Dans les années qui suivent, Jeanne Deckers doit faire face à une santé fragile et se trouve aux prises avec une grave crise d'identité. Elle continue à composer, enregistrer et à peindre, mais à chaque fois, il semble que le monde ne s'intéresse plus à Sœur Sourire. Au printemps 1985, les deux femmes prennent une décision fatale : Elles se suicident.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là…
De nombreuses années après sa mort, quelques cassettes sont trouvées cachées dans le sous-sol du bureau de son défunt avocat. Sur ces bandes, Sœur Sourire a enregistré de nombreuses chansons, dont beaucoup n’ont jamais été publiées auparavant. C'était son souhait que les chansons soient publiées après sa mort, mais elles ne l'ont jamais été. Après le décès de son avocat, toutes ses affaires ont été transférées dans le sous-sol en attendant que quelqu'un les découvre. Et alors, c'est arrivé…
Il y a beaucoup de matériel utile sur les cassettes et nous voulons honorer le dernier souhait de Sœur Sourire en publiant ces chansons sur CD. Nous avons choisi 14 chansons.
Bien sûr, beaucoup de travail est nécessaire avant que ces chansons puissent être publiées sur CD. Les bandes doivent être numérisées, les chansons mastérisées, puis gravées sur CD, le marketing, etc. Aux États-Unis, «Global Recordings Artists» travaille actuellement sur ces documents sonores, mais aide financière est nécessaire pour finaliser ce projet.
Nous devons également enregistrer un nom de domaine et lancer un site Web «officiel». Vous pouvez déjà consulter un site web provisoire dont les liens ne sont pas encore tous opérationnels. Les chansons au format «brut». Beaucoup d'entre elles sont des « home recordings ».
Nous espérons toucher des personnes aussi désireuses que nous de réaliser le souhait de Sœur Sourire et de publier ce "nouveau" CD. Merci beaucoup pour votre générosité et que Dieu vous bénisse!
N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d'informations supplémentaires. Nous vous le fournirons avec grand plaisir.
l’Équipe Sœur Sourire,
Carine Michiels (Belgique)
Deb Chadwick (États-Unis)
Alain Closson (Belgique)
Karl Anderson (États-Unis)
Florian Desmaison (France)
Liens: Site Web Global Recording Artists
Site officiel de Soeur Sourire
La page Facebook
http://www.gragroup.com/
http://users.telenet.be/moonya/Soeur%20Sourire%20Website/site/
https://www.facebook.com/Soeur-Sourire-346502932202841/
Waterloo-België, 1963. Een Dominicaanse non, onder de artiestennaam Soeur Sourire, verovert de wereld met het aanstekelijke liedje Dominique. De eenvoud van het liedje trekt fans van over de hele wereld aan en bereikt zelfs de eerste plaats op de Amerikaanse hitlijsten, de Beatles en Rolling Stones achter zich latend. Ed Sullivan, de beroemde Amerikaanse TV-presentator reist af naar het klooster in Fichermont om Soeur Sourire in zijn show te krijgen terwijl Debbie Reynolds akkoord gaat om in een film over Soeur Sourire de hoofdrol te spelen.
Soeur Sourire – wiens echte naam Jeanne Deckers is – wil songs componeren die een boodschap brengen en om haar ambities waar te maken besluit ze in 1966 het klooster te verlaten. Samen met Annie Pêcher, die ze op een jeugdkamp had ontmoet, trekken ze in in een flat in de buurt van Leuven. Daar kan ze ook vrij de pers te woord staan. Behalve het habijt, breekt Jeanne Deckers ook met de naam Soeur Sourire. Het klooster had haar verboden om die naam nog langer te gebruiken. Omdat ze haar eigen naam niet wil gebruiken, kiest Jeanne Deckers voor “Luc Dominique”. In 1968 verschijnt Deckers’ biografie ook onder de naam van Luc Dominique. Daarin vertelt ze ondermeer over haar reis naar Canada waar tot haar grote teleurstelling ze moest optreden in nachtclubs. In België wordt Jeanne Deckers geconfronteerd met het feit dat de platenmaatschappij “Philips”, niet langer geïnteresseerd is in een ex-non. Het contract met “Philips” was afgelopen en ze hadden niet de intentie om dit te hernieuwen.
In 1969 vroeg Jeanne Deckers het klooster om toestemming om terug de naam Soeur Sourire te gebruiken omdat de naam Luc Dominique voor niemand iets betekende. De toestemming kwam er en later volgden nog een paar platen met kinderliedjes onder het “Hebra” label, helaas zonder veel succes.
Intussen was Soeur Sourire aan SABAM duizenden BEF aan auteursrechten verschuldigd. De opbrengst van “Dominique” was rechtstreeks naar het klooster in Fichermont gegaan. De nonnen waren zeer vrijgevig geweest met het geld dat onverwacht in hun handen was aanbeland. Ze financierden een radiostation in Rwanda, geld ging naar Oostpriesterhulp, naar het werk van missionarissen, om priesters op te leiden in Zaïre, naar de Bisschoppen in Chili, naar de Bisschoppen in Indië, etc. Iedereen wou een graantje meepikken van het succes van Soeur Sourire. En Soeur Sourire zelf: in plaats van rijk te zijn, stapelden de schulden zich op. “Claire Joie” – een opvangcentrum voor autistische kinderen en opgericht door Annie Pêcher - moest de deuren sluiten. En Jeanne Deckers slaagde er maar niet in om een comeback te maken. Met de hulp van platenproducer Marc Moulin, verscheen in 1982 de disco-versie van Dominique. Een flop eens te meer. Indien de nieuwe versie van de song succesvol was geweest, zouden platenmaatschappijen terug geïnteresseerd raken, maar iedereen was er meer dan ooit van overtuigd dat Soeur Sourire een one-hit-wonder was geweest.
In de jaren die volgden kreeg Jeanne Deckers meer met gezondheidsproblemen te maken en moest zich door een zware identiteitscrisis worstelen. Ze bleef echter liedjes opnemen en haar schilderijen tentoonstellen, maar iedere keer bleek dat de wereld niet langer geïnteresseerd was in Soeur Sourire. In de lente van 1985 namen beide vrouwen een definitieve beslissing. Ze pleegden zelfmoord.
Maar daar eindigt het verhaal echter niet…
Vele jaren na haar dood, reel-to-reel tapes en een paar cassetten werden ontdekt in de kelder van Jean Berlier, haar vertrouwensman die ondertussen overleden was. Op die tapes had Soeur Sourire een reeks liedjes ingezongen, veel van hen nooit eerder uitgebracht. Het was haar wens dat de songs na haar dood zouden worden uitgebracht, maar dat is nooit gebeurd. Na Jean Berlier’s dood, werd al het materiaal van Soeur Sourire in de kelder gestapeld wachtend op het moment waarop iemand ze zou vinden. En dat gebeurde ook…
Er is een hoop bruikbaar materiaal ontdekt op de tapes en we willen Soeur Sourire’s laatste wens in vervulling brengen door deze songs uit te brengen op CD. We hebben er 14 songs uitgepikt.
Natuurlijk vraagt dit een hoop werk. Zo zijn er de tapes die moeten worden gedigitaliseerd, remastering, de CD’s persen, marketing, etc. “Global Recordings Artists” in de VS is hiermee bezig, maar we hebben financiële steun nodig om dit waar te maken.
Ook moet een domeinnaam worden geregistreerd en een domein om de “officiële” website te lanceren. U kan al een blik werpen op deze website door naar mijn eigen gratis webstek te gaan waar ik deze website momenteel geparkeerd heb. Hou wel in gedachten dat sommige links niet werken of naar nergens leiden en dat de website verre van “af” is. Maar je kan wel al naar een paar “samples” luisteren van de nieuwe songs. Sommige zijn gewone thuisopnames.
Ik hoop dat jullie zo gedreven zijn als wij om Soeur Sourire’s laatste wens te vervullen en de nieuwe CD te lanceren. Wij bedanken u alvast voor de financiële steun. God Bless!
Voor meer inlichtingen kan u ons altijd contacteren. We zullen u met plezier te woord staan.
Het Soeur Sourire Team,
Carine Michiels (België)
Deb Chadwick (USA)
Alain Closson (België)
Karl Anderson (USA)
Florian Desmaison (Frankrijk)
Links: Global Recording Artists website
Trial versie van de officiële website :
Facebook Pagina
http://www.gragroup.com/
http://users.telenet.be/moonya/Soeur%20Sourire%20Website/site/
https://www.facebook.com/Soeur-Sourire-346502932202841/
Soeur Sourire – whose real name is Jeanne Deckers - wants to compose engaging songs and to realise her ambitions, decides to leave the convent in 1966. Together with Annie Pêcher, whom she had met during one of her youth-camps, they move into a flat in a suburb of Louvain. Besides the habit, Jeanne Deckers also parts with the name Soeur Sourire. The convent has forbidden her to use that name any longer. Because she doesn’t want to use her own name, she chooses Luc Dominique. In 1968, Deckers’ biography appears also under that name. She tells about her trip to Canada where to her dismay, she had to perform in shady nightclubs. In Belgium, Jeanne Deckers is confronted with the fact that the record company, “Philips”, is no longer interested in a defrocked nun. The contract with “Philips” had expired and they didn’t have the intention of renewing it.
In 1969 Jeanne Deckers asked the convent permission to use the name Soeur Sourire again because the name Luc Dominique means nothing to anyone. The permission is granted and later follow a few records for children under the “Hebra” label, albeit not very successful.
Meanwhile Soeur Sourire had to pay a huge amount of taxes to SABAM. The proceeds from Dominique had gone to the convent in Fichermont. The nuns had been very generous with the money earned unexpectedly and paid a radio-station with it in Rwanda, to the Papal missionary work training Priests in Zaire, to the Bishops of Chili, the Bishops of India, etc. Instead of being rich, Soeur Sourire had loads of debts. “Claire Joie” – a refuge for autistic children founded by Annie Pêcher went bankrupt and Jeanne Deckers struggled to make a come-back. With the help of record-producer, Marc Moulin, a disco-version of Dominique appears in 1982. It flopped. If the new version of the song had been successful, record companies would be interested again, but they were more and more convinced that Soeur Sourire had been a one-hit-wonder.
In the years that followed, Jeanne Deckers had to cope with her weak health and found herself struggling with a heavy identity crisis. She keeps recording and painting but each time it seems that the world is no longer interested in Soeur Sourire. In spring 1985 both women make a final decision. They commit suicide.
But the story doesn’t end there…
Many years after her death, reel-to-reel tapes and a few cassette tapes were found stashed away in the basement of her late lawyer’s office. On those tapes, Soeur Sourire had recorded a lot of songs, many of them never previously released. It was her wish that the songs would be released after her death, but they never were. After her lawyer’s passing all stuff was moved into the basement waiting for someone to discover them. And so, it happened…
There’s a lot of useful material on the tapes and we want to honour Soeur Sourire’s last wish by releasing those songs onto CD. We picked 14 songs.
Of course, there’s a lot of work involved before those songs can be released onto CD. The tapes must be digitalised, the songs remastered, then the pressing onto CD, marketing, etc. “Global Recordings Artists” in the States is busy working on this, but we do need some financial help to make this happen.
We also need to register a domain name and launch an “official” website. You can already review the website that I have put on my own free webspace. Of course, do bear in mind that some links do not work, and that the website is far from finished. But you can already have a listen to the songs in “raw” format. Many of them are home recordings.
I do hope you are as eager as we are to fulfil Soeur Sourire’s wish and release this “new” CD. Thank you very much for your generosity and God Bless!
Do not hesitate to contact us if you need further information. We’ll provide it with great pleasure.
The Soeur Sourire Team,
Carine Michiels (Belgium)
Deb Chadwick (USA)
Alain Closson (Belgium)
Karl Anderson (USA)
Florian Desmaison (France)
Links: Global Recording Artists website
Official Soeur Sourire Website
Facebook Page
http://www.gragroup.com/
http://users.telenet.be/moonya/Soeur%20Sourire%20Website/site/
https://www.facebook.com/Soeur-Sourire-346502932202841/
Waterloo-Belgique, 1963. Une religieuse dominicaine, surnommée Sœur Sourire, conquiert le monde avec la chanson Dominique. Sa simplicité attire des fans du monde entier et Dominique devient numéro un aux États-Unis, devançant les Beatles et les Rolling Stones. Ed Sullivan, le célèbre présentateur de télévision américain se rend au couvent de Fichermont pour mettre Sœur Sourire à son programme, tandis que Debbie Reynolds accepte de jouer dans un film "fictif" sur Sœur Sourire.
Sœur Sourire - dont le vrai nom est Jeanne Deckers – veut composer des chansons engagées et réaliser ses ambitions. Elle décide de quitter le couvent en 1966. Avec Annie Pêcher, qu'elle a rencontrée au cours de l'un de ses camps de jeunesse, elles s’installent en appartement dans la banlieue de Louvain. En plus de l'habit, Jeanne Deckers perd également le nom de Sœur Sourire : Le couvent lui a interdit d'utiliser ce nom. Elle se choisit alors le pseudonyme de Luc Dominique. C’est sous ce nom que paraît sa biographie en 1968. Elle y raconte son voyage au Canada où, à sa grande consternation, elle devait se produire dans de sombres boîtes de nuit. En Belgique, Jeanne Deckers est abandonnée par sa maison de disques, «Philips», qui ne s'intéresse plus à une nonne défroquée et qui n'a donc pas l'intention de renouveler le contrat qui était arrivé à son terme.
le nom de Luc Dominique ne signifiant rien pour le public, en 1969 Jeanne Deckers demande au couvent l'autorisation d'utiliser à nouveau le nom de Sœur Sourire. La permission est accordée et, plus tard, suivront quelques enregistrements pour enfants sous le label «Hebra», qui ne furent malheureusement pas couronnés de succès.
Sœur Sourire se devait aussi de régulariser l’impôt dû sur les royalties versées par la SABAM malgré que les recettes de Dominique étaient allées au couvent de Fichermont. Les nonnes avaient été très généreuses avec l'argent gagné de façon inattendue et avaient financé une station de radio au Rwanda, soutenu l'œuvre missionnaire papale formant des prêtres au Zaïre, distribué de l’argent aux évêques du Chili, aux évêques de l'Inde, etc. Au lieu d'être riche, Sœur Sourire se retrouve endettée jusqu’au cou. A ce problème, il faut ajouter la faillite de «Claire Joie», un refuge pour enfants autistes fondé par Annie Pêcher et la difficulté pour Jeanne Deckers de faire son retour sur le devant de la scène. Avec l'aide du producteur de disques Marc Moulin, une version disco de Dominique paraît en 1982. Si la nouvelle version de la chanson avait eu du succès, les maisons de disques se seraient de nouveau intéressées à Sœur Sourire… mais ce ne fut pas le cas. Sœur Sourire s’effondra !
Dans les années qui suivent, Jeanne Deckers doit faire face à une santé fragile et se trouve aux prises avec une grave crise d'identité. Elle continue à composer, enregistrer et à peindre, mais à chaque fois, il semble que le monde ne s'intéresse plus à Sœur Sourire. Au printemps 1985, les deux femmes prennent une décision fatale : Elles se suicident.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là…
De nombreuses années après sa mort, quelques cassettes sont trouvées cachées dans le sous-sol du bureau de son défunt avocat. Sur ces bandes, Sœur Sourire a enregistré de nombreuses chansons, dont beaucoup n’ont jamais été publiées auparavant. C'était son souhait que les chansons soient publiées après sa mort, mais elles ne l'ont jamais été. Après le décès de son avocat, toutes ses affaires ont été transférées dans le sous-sol en attendant que quelqu'un les découvre. Et alors, c'est arrivé…
Il y a beaucoup de matériel utile sur les cassettes et nous voulons honorer le dernier souhait de Sœur Sourire en publiant ces chansons sur CD. Nous avons choisi 14 chansons.
Bien sûr, beaucoup de travail est nécessaire avant que ces chansons puissent être publiées sur CD. Les bandes doivent être numérisées, les chansons mastérisées, puis gravées sur CD, le marketing, etc. Aux États-Unis, «Global Recordings Artists» travaille actuellement sur ces documents sonores, mais aide financière est nécessaire pour finaliser ce projet.
Nous devons également enregistrer un nom de domaine et lancer un site Web «officiel». Vous pouvez déjà consulter un site web provisoire dont les liens ne sont pas encore tous opérationnels. Les chansons au format «brut». Beaucoup d'entre elles sont des « home recordings ».
Nous espérons toucher des personnes aussi désireuses que nous de réaliser le souhait de Sœur Sourire et de publier ce "nouveau" CD. Merci beaucoup pour votre générosité et que Dieu vous bénisse!
N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d'informations supplémentaires. Nous vous le fournirons avec grand plaisir.
l’Équipe Sœur Sourire,
Carine Michiels (Belgique)
Deb Chadwick (États-Unis)
Alain Closson (Belgique)
Karl Anderson (États-Unis)
Florian Desmaison (France)
Liens: Site Web Global Recording Artists
Site officiel de Soeur Sourire
La page Facebook
http://www.gragroup.com/
http://users.telenet.be/moonya/Soeur%20Sourire%20Website/site/
https://www.facebook.com/Soeur-Sourire-346502932202841/
Waterloo-België, 1963. Een Dominicaanse non, onder de artiestennaam Soeur Sourire, verovert de wereld met het aanstekelijke liedje Dominique. De eenvoud van het liedje trekt fans van over de hele wereld aan en bereikt zelfs de eerste plaats op de Amerikaanse hitlijsten, de Beatles en Rolling Stones achter zich latend. Ed Sullivan, de beroemde Amerikaanse TV-presentator reist af naar het klooster in Fichermont om Soeur Sourire in zijn show te krijgen terwijl Debbie Reynolds akkoord gaat om in een film over Soeur Sourire de hoofdrol te spelen.
Soeur Sourire – wiens echte naam Jeanne Deckers is – wil songs componeren die een boodschap brengen en om haar ambities waar te maken besluit ze in 1966 het klooster te verlaten. Samen met Annie Pêcher, die ze op een jeugdkamp had ontmoet, trekken ze in in een flat in de buurt van Leuven. Daar kan ze ook vrij de pers te woord staan. Behalve het habijt, breekt Jeanne Deckers ook met de naam Soeur Sourire. Het klooster had haar verboden om die naam nog langer te gebruiken. Omdat ze haar eigen naam niet wil gebruiken, kiest Jeanne Deckers voor “Luc Dominique”. In 1968 verschijnt Deckers’ biografie ook onder de naam van Luc Dominique. Daarin vertelt ze ondermeer over haar reis naar Canada waar tot haar grote teleurstelling ze moest optreden in nachtclubs. In België wordt Jeanne Deckers geconfronteerd met het feit dat de platenmaatschappij “Philips”, niet langer geïnteresseerd is in een ex-non. Het contract met “Philips” was afgelopen en ze hadden niet de intentie om dit te hernieuwen.
In 1969 vroeg Jeanne Deckers het klooster om toestemming om terug de naam Soeur Sourire te gebruiken omdat de naam Luc Dominique voor niemand iets betekende. De toestemming kwam er en later volgden nog een paar platen met kinderliedjes onder het “Hebra” label, helaas zonder veel succes.
Intussen was Soeur Sourire aan SABAM duizenden BEF aan auteursrechten verschuldigd. De opbrengst van “Dominique” was rechtstreeks naar het klooster in Fichermont gegaan. De nonnen waren zeer vrijgevig geweest met het geld dat onverwacht in hun handen was aanbeland. Ze financierden een radiostation in Rwanda, geld ging naar Oostpriesterhulp, naar het werk van missionarissen, om priesters op te leiden in Zaïre, naar de Bisschoppen in Chili, naar de Bisschoppen in Indië, etc. Iedereen wou een graantje meepikken van het succes van Soeur Sourire. En Soeur Sourire zelf: in plaats van rijk te zijn, stapelden de schulden zich op. “Claire Joie” – een opvangcentrum voor autistische kinderen en opgericht door Annie Pêcher - moest de deuren sluiten. En Jeanne Deckers slaagde er maar niet in om een comeback te maken. Met de hulp van platenproducer Marc Moulin, verscheen in 1982 de disco-versie van Dominique. Een flop eens te meer. Indien de nieuwe versie van de song succesvol was geweest, zouden platenmaatschappijen terug geïnteresseerd raken, maar iedereen was er meer dan ooit van overtuigd dat Soeur Sourire een one-hit-wonder was geweest.
In de jaren die volgden kreeg Jeanne Deckers meer met gezondheidsproblemen te maken en moest zich door een zware identiteitscrisis worstelen. Ze bleef echter liedjes opnemen en haar schilderijen tentoonstellen, maar iedere keer bleek dat de wereld niet langer geïnteresseerd was in Soeur Sourire. In de lente van 1985 namen beide vrouwen een definitieve beslissing. Ze pleegden zelfmoord.
Maar daar eindigt het verhaal echter niet…
Vele jaren na haar dood, reel-to-reel tapes en een paar cassetten werden ontdekt in de kelder van Jean Berlier, haar vertrouwensman die ondertussen overleden was. Op die tapes had Soeur Sourire een reeks liedjes ingezongen, veel van hen nooit eerder uitgebracht. Het was haar wens dat de songs na haar dood zouden worden uitgebracht, maar dat is nooit gebeurd. Na Jean Berlier’s dood, werd al het materiaal van Soeur Sourire in de kelder gestapeld wachtend op het moment waarop iemand ze zou vinden. En dat gebeurde ook…
Er is een hoop bruikbaar materiaal ontdekt op de tapes en we willen Soeur Sourire’s laatste wens in vervulling brengen door deze songs uit te brengen op CD. We hebben er 14 songs uitgepikt.
Natuurlijk vraagt dit een hoop werk. Zo zijn er de tapes die moeten worden gedigitaliseerd, remastering, de CD’s persen, marketing, etc. “Global Recordings Artists” in de VS is hiermee bezig, maar we hebben financiële steun nodig om dit waar te maken.
Ook moet een domeinnaam worden geregistreerd en een domein om de “officiële” website te lanceren. U kan al een blik werpen op deze website door naar mijn eigen gratis webstek te gaan waar ik deze website momenteel geparkeerd heb. Hou wel in gedachten dat sommige links niet werken of naar nergens leiden en dat de website verre van “af” is. Maar je kan wel al naar een paar “samples” luisteren van de nieuwe songs. Sommige zijn gewone thuisopnames.
Ik hoop dat jullie zo gedreven zijn als wij om Soeur Sourire’s laatste wens te vervullen en de nieuwe CD te lanceren. Wij bedanken u alvast voor de financiële steun. God Bless!
Voor meer inlichtingen kan u ons altijd contacteren. We zullen u met plezier te woord staan.
Het Soeur Sourire Team,
Carine Michiels (België)
Deb Chadwick (USA)
Alain Closson (België)
Karl Anderson (USA)
Florian Desmaison (Frankrijk)
Links: Global Recording Artists website
Trial versie van de officiële website :
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http://www.gragroup.com/
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